Nous avons adopté deux critères supplémentaires pour les fonds ISR, le respect des Droits de l’Homme et le Comportement de Marché, car nous avons la conviction que ces deux aspects ont un impact sur le développement à long terme d'une entreprise. Bon nombre des problèmes rencontrés par les entreprises dans un passé récent sont liés à ces aspects et cela a empêché ces entreprises d’atteindre leur plein potentiel de développement. Ici, nous aimerions aborder le critère des droits de l'homme. Cela a toujours été un filtre pour nous, car les entreprises qui ne respectent pas les droits de l'homme rencontreront à un certain moment dans le temps un obstacle à leur développement, et ne seront pas en mesure de le surmonter à moins qu'elles ne respectent les droits humains. Nous définissons les droits de l'homme sur la base des 6 premiers principes du Pacte mondial des Nations Unies, qui se fonde sur la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme et la Déclaration de l' Organisation Internationale du Travail relative aux principes et droits fondamentaux au travail. Plus précisément ces principes ont trait aux:
Droits de l'homme au sein de la société
Principe 1: Les entreprises doivent promouvoir et respecter la protection des droits de l'homme internationalement proclamés et
Principe 2: s’assurer qu'elles ne rendent pas complices de violations des droits de l'homme..
Droits de l’homme au travail
Principe 3: Les entreprises sont invitées à respecter la liberté d'association et la reconnaissance effective du droit de négociation collective;
Principe 4: l'élimination de toutes les formes de travail forcé ou obligatoire;
Principe 5: l'abolition effective du travail des enfants, et
Principe 6: l' élimination de la discrimination en matière d'emploi et de d’activité.
Nous analysons non seulement l'engagement de l'entreprise, mais également la mise en œuvre de cet engagement et les systèmes de suivi et contrôle. Nous appliquons un principe de précaution au cas où la société opère dans des secteurs sensibles à cette problématique ou des activités intensives en capital humain. Nous excluons les entreprises en cas d’alerte ou de controverse après un travail de recherche effectué sur les faits en cause dans la mesure du possible, en établissant un dialogue avec les ONG ou les syndicats et en rencontrant l' entreprise afin d'évaluer ses arguments et sa réactivité de réponse à la problématique soulevée. Nous soumettons ensuite le cas à notre Comité consultatif ISR indépendant pour avis.
Cela peut sembler ésotérique, mais il suffit de penser à la capacité d'une entreprise à attirer de nouveaux et meilleurs talents et de les retenir. Quel pourrait être le développement à long terme d'une entreprise incapable d'attirer et de retenir les talents? Une entreprise serait-elle en mesure d'attirer les talents si elle ne respectait pas les droits humains? Cela pourrait être le cas dans un premier temps mais les conséquences d’une telle politique auront un impact certain à un moment donné de la vie de l’entreprise.
BNP Paribas IP Mandate SRI Europe Equities Portfolio
THEAM Low Volatility ISR : Quand le « Smart Beta » rencontre la responsabilité sociale.
Par nature, le choix d’une gestion répondant aux critères d’Investissement Socialement Responsable (ISR) est une question de principe plutôt qu’une question financière. Ce n’est pas pour autant l’abandon de toute gestion financière, comme le démontre THEAM avec cette stratégie innovante combinant ISR et « Smart Beta ».
BNP Paribas Investment Partners est un acteur incontournable de la gestion ISR en Europe, tant sur les actions que sur les autres classes d’actif. A ce titre, il n’était donc pas envisageable pour nous de laisser se monter un mandat AM League ISR sans y participer, dès le lancement… Cependant, pourquoi aller proposer une nouvelle gestion benchmarkée, alors que de nombreuses sont déjà présentes sur le marché?
Puisque le « Smart Beta » est un thème très discuté cette année, au sein duquel THEAM a largement souligné l’intérêt d’une approche « Low Volatility » il nous a paru évident de combiner ces deux thèmatiques (Low Volatilité et ISR) pour élargir l’offre ISR à destinations des institutionnels européens.
Cette nouvelle stratégie adapte le mécanisme de sélection et de pondération de la gamme des fonds « Low Volatility » mais l’univers de départ est issu de la liste des titres sélectionnés par les analystes extra-financiers de BNP Paribas Investment Partners (selon une analyse « Best-in-Class » qui vise à identifier les émetteurs ayant les meilleures pratiques Environnementales Sociétales et de Gouvernance - ESG - au sein de chaque secteur). Le principal effet de ce mécanisme systématique est de réduire le niveau de risque du portefeuille, tout en bénéficiant, sur le long terme, de la création d’alpha due à l’anomalie de faible volatilité.
La stratégie vient de fêter ses trois mois, ce qui est bien trop court pour apprécier réellement les performances, mais le niveau de risque (faible), la tracking error (élevée) et l’alpha (positif) sont en ligne avec le comportement attendu d’une telle stratégie, « Smart et ISR ».
Au début de chaque mois, le Temps publie les classements amLeague sur son site web,
accompagnés d’une analyse en profondeur réalisée par bfinance, un cabinet indépendant de conseil en services financiers qui accompagne les entreprises et les investisseurs institutionnels du monde entier. [Cliquez ici, pour lire le commentaire.]
Nous avons adopté deux critères supplémentaires pour les fonds ISR, le respect des Droits de l’Homme et le Comportement de Marché, car nous avons la conviction que ces deux aspects ont un impact sur le développement à long terme d'une entreprise. Bon nombre des problèmes rencontrés par les entreprises dans un passé récent sont liés à ces aspects et cela a empêché ces entreprises d’atteindre leur plein potentiel de développement. Ici, nous aimerions aborder le critère des droits de l'homme. Cela a toujours été un filtre pour nous, car les entreprises qui ne respectent pas les droits de l'homme rencontreront à un certain moment dans le temps un obstacle à leur développement, et ne seront pas en mesure de le surmonter à moins qu'elles ne respectent les droits humains. Nous définissons les droits de l'homme sur la base des 6 premiers principes du Pacte mondial des Nations Unies, qui se fonde sur la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme et la Déclaration de l' Organisation Internationale du Travail relative aux principes et droits fondamentaux au travail. Plus précisément ces principes ont trait aux:
Droits de l'homme au sein de la société
Droits de l’homme au travail
Nous analysons non seulement l'engagement de l'entreprise, mais également la mise en œuvre de cet engagement et les systèmes de suivi et contrôle. Nous appliquons un principe de précaution au cas où la société opère dans des secteurs sensibles à cette problématique ou des activités intensives en capital humain. Nous excluons les entreprises en cas d’alerte ou de controverse après un travail de recherche effectué sur les faits en cause dans la mesure du possible, en établissant un dialogue avec les ONG ou les syndicats et en rencontrant l' entreprise afin d'évaluer ses arguments et sa réactivité de réponse à la problématique soulevée. Nous soumettons ensuite le cas à notre Comité consultatif ISR indépendant pour avis.
Cela peut sembler ésotérique, mais il suffit de penser à la capacité d'une entreprise à attirer de nouveaux et meilleurs talents et de les retenir. Quel pourrait être le développement à long terme d'une entreprise incapable d'attirer et de retenir les talents? Une entreprise serait-elle en mesure d'attirer les talents si elle ne respectait pas les droits humains? Cela pourrait être le cas dans un premier temps mais les conséquences d’une telle politique auront un impact certain à un moment donné de la vie de l’entreprise.